Peu à peu, je découvre certaines choses. Mon grand-père maternel n’avait pas beaucoup de livres et je ne vais pas en sortir un tous les quatre matins. Je pense que c’est l’avant-dernier. Celui-ci s’appelle « Miettes d’Amour ». J’ai hésité à en parler parce qu’en cherchant un peu qui était François Molines, j’ai vu qu’il était d’Alger. Ça m’a rappelé Jeanne Cheula …
